Interrogations fréquentes
« Ne marche pas devant moi, je ne te suivrai peut-être pas.
Albert Camus
Ne marche pas derrière moi, je ne te guiderai peut-être pas.
Marche à côté de moi et sois simplement mon amie. »
Psychologue Toulouse
« Ne marche pas devant moi, je ne te suivrai peut-être pas.
Albert Camus
Ne marche pas derrière moi, je ne te guiderai peut-être pas.
Marche à côté de moi et sois simplement mon amie. »
Psychologue est à la fois un niveau d’études (Bac + 5) et un titre (...) En savoir plus
Psychologue est à la fois un niveau d’études (Bac + 5) et un titre protégé par la loi n°85-772 du 25 juillet 1985 complétée par celle du 4 mars 2002 (n°2002-303), qui fait obligation au psychologues de s’inscrire sur le registre ADELI. Le numéro délivré par l’ARS (Agence Régionale de Santé) donne droit à l’usage professionnel de ce titre, quelque soit le mode d’exercice.
Un psychologue est une personne ayant validé un Master 2 ou un DESS dispensé par un établissement public ou privé sous contrat avec l’Etat. Cette formation contient l’acquisition de connaissances théoriques et de compétences au travers de stages pratiques.
C’est un praticien spécialisé dans le fonctionnement psychologique qui travaille auprès de personnes présentant des troubles et/ou une souffrance psychique.
Par ailleurs, un psychologue, contrairement à un psychiatre, n’est pas un médecin et ne peut donc, délivrer de traitements pharmacologiques.
Il est soumis à un code de déontologie garantissant le secret professionnel ainsi que le respect des capacités de discernement et de libre arbitre des personnes. Le respect des règles protège le public des mésusages de la psychologie.
L’usage de titre de psy-chothérapeute est réglementé depuis 2010. Seul le titulaire d’une autorisation d’usage du titre délivré par l’ARS (Agence Régionale de Santé) validant les qualifications requises, peut exercer en tant que psychothérapeute.
Si un psychologue ou un psychiatre peuvent être habilités à pratiquer des psychothérapies, le psychothérapeute peut, a contrario, n’être ni psychologue, ni médecin. Le psychothérapeute est formé à une ou des approches d’aide et de conseils.
Le psychiatre est d’abord un docteur en médecine spécialisé dans la prise en charge des troubles psychiques. Son titre est protégé par la loi et il est soumis à un code de déontologie médicale. Ses interventions sont remboursées par le régime de la Sécurité Sociale. Il peut exercer des psychothérapies et/ou prescrire des médicaments (antidépresseurs, anxiolytiques, thymo-régulateurs, neuroleptiques…) dans les cas de désordres psychiatriques tels que les troubles de l’humeur , les psychoses, les troubles anxieux résistants…
Professionnel formé à la méthode de psychologie clinique basée sur l’existence de l’inconscient, qui comprend un enseignement théorique à l’un des courants se réclamant de cet accompagnement (dont le père fondateur est Sigmund FREUD) et une cure analytique de plusieurs années.
Ça arrive. Il se peut que le psychologue, bien que formé et expérimenté (...) En savoir plus
Ça arrive. Il se peut que le psychologue, bien que formé et expérimenté, fasse une erreur d’appréciation, une maladresse sémantique. N’hésitez pas en parler. Toute remarque authentique sur le lien alimente la qualité de l’alliance thérapeutique.
Si votre impression perdure, il se peut que ce ressenti fasse partie de votre problématique ; je vous encourage à l’exprimer même si c’est difficile ; le lieu et la relation au thérapeute permettent de faire l’expérience d’un contexte social aux paramètres contrôlables ou plus prévisibles (donc moins déstabilisants) que dans les interactions sociales ordinaires.
La démarche d’aller s’ouvrir à une personne que vous ne connaissez pas (...) En savoir plus
La démarche d’aller s’ouvrir à une personne que vous ne connaissez pas est un exercice inhabituel. Pour certains, cela peut être la première fois qu’ils parlent d’eux intimement à quelqu’un.
De plus, l’évocation des difficultés peuvent générer un inconfort émotionnel, dans l’instant ou l’après coup. L’émergence des émotions est courante. Mais ces dernières ne sont pas à confondre avec la souffrance. Souffrir n’est ni un objectif, ni à éviter.
La verbalisation n’est pas nécessairement une confession. Vous seul(e) décidez (...) En savoir plus
La verbalisation n’est pas nécessairement une confession. Vous seul(e) décidez de ce que vous souhaitez (dé)livrer au cours d’un rendez-vous. Le thérapeute respecte votre libre arbitre. Il peut arriver cependant qu’il relève des contradictions et des incohérences ; cela fait partie de son travail mais n’est en aucun cas un jugement de sa part.
Ce moment centré sur vous et le lien avec le thérapeute est privilégié (...) En savoir plus
Ce moment centré sur vous et le lien avec le thérapeute est privilégié, ouvert et sécurisé ; vous pouvez exprimer ce qui vient, comme ça vient. Votre corps aussi peut exprimer aux travers de certains symptômes plus ou moins perceptibles.
Si vous en ressentez le besoin… Quoiqu’il en soit (...) En savoir plus
Si vous en ressentez le besoin… Quoiqu’il en soit quelque chose émergera dans l’entre-deux de la consultation.
J’aurais tendance à répondre « ce qu’on en fait ». Je comprends cependant (...) En savoir plus
J’aurais tendance à répondre « ce qu’on en fait ». Je comprends cependant que vous ayez besoin de plus d’informations ou plus concrètes. Si vous craignez de ne pas savoir comment démarrer, vous pouvez commencer par exposer ce qui a déclenché votre démarche de consultation. Votre psychothérapeute saura vous guider, si verbaliser est difficile pour vous.
Stress et anxiété sont souvent confondus. (...) En savoir plus
Stress et anxiété sont souvent confondus.
Le stress est une réponse physiologique de l’organisme à des stimuli ; cette réponse est adaptative et permet de mobiliser ses ressources pour faire face à la situation. Ce phénomène n’est pas pathologique. Il peut le devenir lorsqu’il est répété ou continu ; il finit par générer de l’épuisement avec des répercutions psychiques et physiques plus invalidantes.
L’anxiété est un trouble caractérisé par des manifestations physiologiques et cognitives (inquiétude diffuse, peur, panique, phobie) qui n’est pas adaptatif car pas justifié par la situation réelle. Ses causes sont multifactorielles et nécessitent un travail spécifique qui porte moins sur la situation elle-même (de type résolution de problème par exemple ou réduction des stresseurs) que sur la perception qu’on en a. Il existe différents degrés de mal-être dont certains, extrêmes, qui peuvent mener, par des conduites répétées d’évitement, à une réduction invalidante de la qualité de vie.
Si vous constatez une progression de votre mal-être (préoccupations excessives, ruminations, indisponibilité à vos proches, repli…) et/ou une augmentation des stratégies comportementales pour éviter certaines situations, il est temps de vous faire accompagner, afin que cela ne s’amplifie pas davantage.
A la fois tout ce que l’attention et l’écoute aiguisées d’un psychothérapeute (...) En savoir plus
A la fois tout ce que l’attention et l’écoute aiguisées d’un psychothérapeute peut vous permettre de déposer, observer, interroger et agir de vous.
Et rien de ce qui vous est impossible.
L’engagement dans une démarche en lien, requiert une implication du patient et du thérapeute, asymétrique certes mais conjointe. Le thérapeute ne peut rien à lui seul, il n’agit pas sur mais avec vous ; vous cheminez ensemble et co-créez les possibles d’un changement.
Il n’existe pas de fréquence type ou idéale. Elle fait l’objet d’une décision (...) En savoir plus
Il n’existe pas de fréquence type ou idéale. Elle fait l’objet d’une décision conjointe tenant compte de différents paramètres tels que votre problématique et le cadre dans lequel elle s’inscrit (soutien, thérapie brève, psychothérapie), ce que j’en perçois, l’intensité de votre mal-être, le budget que vous pouvez/souhaitez y consacrer…
Vous pouvez venir deux fois par semaine ou deux fois par an.
De la même manière, le nombre de consultations ne peut faire l’objet d’un canevas a priori.
Vous pouvez venir une seule fois ou pendant des années.
Les consultations peuvent être programmées sur une certaine durée et leur fréquence peut être réévaluée et ajustée à la progression du travail psychothérapeutique en cours.
Les rendez-vous peuvent aussi être pris d’une fois sur l’autre.